samedi 21 janvier 2017

La nuit interdite (Thierry Serfaty)

Une nuit sans fin. Un homme hanté par le souvenir de sa femme et de son enfant sauvagement assassinés. Et par l'image, obsédante, d'un visage qui disparaît inexorablement de sa mémoire : celui de l'assassin. Bientôt, il n'en restera plus rien. Sauf si l'on empêche cet homme, le seul témoin du drame, de sombrer dans un sommeil aussi profond que l'oubli, aussi dangereux que la mort qui le guette. Car la proie, désormais, c'est lui. Thierry Serfaty s'est inspiré de ses connaissances de chercheur et de médecin pour s'imposer magistralement avec ses premiers romans, Le Sang des Sirènes (prix Polar) et Le Gène de la révolte. Avec ce nouveau thriller, il nous plonge dans l'univers inquiétant de la psychiatrie et des secrets du sommeil, dont on ne sort pas indemne.

 

Thierry Serfaty s'est inspiré de ses connaissances de chercheur et de médecin pour s'imposer magistralement avec ses précédents romans, Le Sang des sirènes (prix Polar) et Le Gène de la révolte. Avec ce nouveau thriller, il nous plonge dans l'univers inquiétant de la psychiatrie. --Ce texte fait référence à l'édition Poche .


Broché: 380 pages
Editeur : Albin Michel (4 janvier 2006)
Collection : LITT.GENERALE
Langue : Français


Ce n'est pas le premier roman que je lis de cet auteur. Pour moi,Thierry Serfaty est une valeur sûre. Je sais que me plonger dans un de ses romans va me faire passer un bon moment. J'ai aimé tous ses romans et celui-ci ne fait pas exception.
Un livre qui en plus d'être un bon thriller, nous apprend beaucoup de choses sur le sommeil.
Les théories scientifiques font de ce roman, une histoire étonnante.
J'ai beaucoup aimé les différentes personnalités des différents personnages, que ce soit Laurent Strelli, le mari de la victime,Erik Flament, l'enquêteur ou encore Eva, spécialiste de la thérapie par le toucher.
Un seul petit reproche. Quelques longueurs dont l'auteur aurait pu se passer.
En conclusion, un très bon livre, bien écrit bien que ce ne soit pas, à mon avis, le meilleur.

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