Comment faire ses débuts dans le monde quand on est une jeune fille anxieuse et d’une timidité pathologique ? Madeline Gracechurch est une godiche et elle le sait. Incapable d’affronter le badinage de la haute société, elle s’est inventé un soupirant pour qu’on lui fiche la paix : un fringuant Écossais, le capitaine Logan MacKenzie, qu’elle aurait rencontré à Brighton, et qui est fou d’elle car, dans sa correspondance avec ce fiancé imaginaire, Madeline a toutes les audaces. Fort heureusement, ses missives, égarées dans quelque caserne lointaine, resteront scellées à jamais. C’est ce qu’elle croyait, jusqu’au jour où Logan MacKenzie vient frapper à sa porte, bien décidé à exiger tout ce qu’elle lui a promis dans ses lettres !
J’adore lire une petite romance historique de temps en temps. Une immersion dans l’Écosse du 19ème siècle, c’est du moins l’époque que suggèrent les descriptions. Madeline est une jeune femme fort timide, naturaliste, aimant le dessin et la nature. Un traumatisme ancien l’a laissé hypersensible et timide maladive. Pour échapper à toutes les obligations sociétales que lui impose son statut d’aristocrate, elle s’invente un bel highlander qui l’aurait séduite à Brighton. Mais catastrophe pour elle, un vrai McKenzie débarque chez elle un beau jour bien décidé à réclamer son dû.
C’est tout à fait le genre de livre que l’on dévore, plein d’actions et de bons mots. Beaucoup d’humour, des dialogues savoureux parmi de belles scènes torrides. Les deux tourtereaux ont dû mal à se connaître et à se reconnaître.
Il y aussi l’histoire de deux homards dans le livre que je ne vous raconterai pas. Cela offre des scènes hilarantes.
Bon et bien je crois bien qu’un de ces jours j’en lirai d’autres de cette auteure, c’est très divertissant.
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