1) Le Pays du nuage blanc :
«Église anglicane de Christchurch (Nouvelle-Zélande) recherche jeunes femmes honorables pour contracter mariage avec messieurs de notre paroisse bénéficiant tous d'une réputation irréprochable.»
Londres, 1852. Hélène, préceptrice, décide de répondre à cette annonce et de tenter l'aventure. Sur le bateau qui la mène au Pays du nuage blanc, elle fait la connaissance de Gwyneira, une aristocrate désargentée promise à l'héritier d'un magnat de la laine. Ni l'une ni l'autre ne connaissent leur futur époux.
Une nouvelle vie - pleine d'imprévus - commence pour les deux jeunes femmes, qu'une amitié indéfectible lie désormais.
2) Le Chant des esprits :
Gwyneira – l’une des deux héroïnes du Pays du nuage blanc – élève sa petite-fille Kura et s’inquiète pour elle. La jeune métis de quinze ans, surnommée la reine maorie, possède un physique et une voix magnifiques qui suscitent l’admiration. Mais, capricieuse et uniquement intéressée par la musique, Kura refuse d’assumer son rôle d’héritière de Kiward Station, le domaine familial. Gwyneira décide alors de l’envoyer en pensionnat pour lui donner une éducation stricte. C’est alors que Kura rencontre William Martyn – le fiancé de sa cousine, la petite-fille d’Hélène – autre héroïne du Pays du nuage blanc… Le coup de foudre est réciproque. Kura et William décident de se marier, au grand dam de tous. Kura pourra-t-elle cependant se contenter d’un rôle d’épouse alors qu’une grande carrière musicale lui est promise ? Portée par un puissant souffle romanesque, ce roman confirme le talent d’une auteure découverte avec Le Pays du nuage blanc…
3) Le cri de la terre :
Gloria, l’arrière-petite-fille de Gwyneira McKenzie (la jeune Anglaise qui débarquait sur les côtes de la Nouvelle-Zélande dans Le Pays du Nuage blanc), a joui d’une enfance et d’une adolescence idylliques à Kiward Station, la ferme familiale.
Mais tout s’effondre quand ses parents – pourtant absents car pris par la carrière de cantatrice de sa mère – lui font savoir qu’il est temps pour elle de devenir une véritable lady.
Gloria doit alors tout quitter et faire ses adieux à ceux qui l’entourent, en particulier son cousin Jack, dont elle est très proche. Destination l’Angleterre et un austère pensionnat !
Contrainte de se plier aux règles strictes de l’établissement, incapable de s’intégrer, Gloria se retrouve plus seule et démunie que jamais.
Aussi décide-t-elle de rentrer coûte que coûte dans son pays, celui du nuage blanc, et, qui sait, d’y retrouver Jack…
Fan de livres audio que j'écoute à mes moments perdus lorsque je remonte du pédibus, cuisine ou fais le ménage, je me suis plongée dans la série Gwyneira McKenzie.
6 mois d'écoute pour arriver au bout de cette saga qui comporte 3 tomes. Récit de longue haleine lu par Marine Royer qui a parfaitement rendu l'ambiance des romans.
Un beau voyage en Nouvelle-Zélande, sur les traces des Maori et des Pākehā vivant de l'élevage des moutons.
L'auteure sait très bien nous décrire la Nouvelle Zélande, pays encore jeune, avec ses paysages, ses moutons, ses traditions et ses habitants.
J'avais presque l'impression d'y être. Voyager sans quitter son pays, c'est un vrai luxe.
Un récit sur 3 générations. Les femmes sont mises en avant. Chacune m'a plu par son parcours, ses déboires, sa vie, son tempérament. Des femmes qui en veulent, subissent parfois les hommes mais savent toujours rebondir et aller de l'avant.
Tous les personnages sont attachants, à quelques exceptions près.
Un récit bien ficelé, romanesque; dur parfois.
On traverse la première guerre mondiale et ses combats mais aussi les réalités quotidiennes des exploitants.
Tome 1 :
Le pays du nuage blanc
J'ai découvert Sarah Lark avec son dernier roman « L'île des mille sources », j'ai tellement apprécié que j'ai voulu découvrir sa première trilogie « Le pays du nuage blanc ».
Cette fois-ci c'est à un voyage à travers les océans pour l'hémisphère sud, la Nouvelle Zélande qu'elle nous convie.
Hélène, jeune préceptrice désargentée et Gwyneira, aristocrate promise à un fils d'éleveur se rencontrent lors de la traversée en bateau. Hélène est chargée de voyager aussi avec quelques orphelines promises comme bonnes à tout faire auprès de colons en mal de bonnes anglaises. Elle les accompagnera et les formera, leur apprendra à lire, une forme d'affection se créée entre elles toutes. En arrivant à bon port, ce n'est pas forcément ce qu'elles imaginaient qui leur arrive, les déceptions sont aussi là.
Avec ce livre on se retrouve emporté parmi les conflits entre les barons de la laine, qui doivent compter aussi avec les autochtones qu'ils cherchent à flouer de leurs terres, les Maoris.
Hélène, préceptrice dans l'âme va instruire les jeunes indigènes malgré sa condition de femme d'éleveur pauvre.
Gwyneira, elle malgré son statut de femme privilégiée ne sera pas forcément plus heureuse, mais elle se donnera totalement à sa passion de l'élevage et à la gestion du domaine.
C'est une belle saga familiale à laquelle on assiste, ce premier tome nous raconte la naissance d'une politique de colonisation d'une île à l'autre bout du monde. La naissance d'enfant dans les différentes familles crée un canevas de liens familiaux qui entremêlent tous les protagonistes.
J'ai vraiment beaucoup apprécié et l'écriture et l'ambiance aventureuse pleine de tumulte qu'a si bien retranscrite Sarah Lark.
J'ai hâte de me mettre dans le tome 2 pour suivre les aventures de tout ce petit monde.
Après avoir commencé par la lecture de L'autre trilogie de Sarah Lark, j'ai eu très envie de découvrir celle dont on en entend parler partout "Le pays du nuage blanc".
Une fois encore, Sarah Lark nous emporte dans l'hémisphère sud, en Nouvelle-Zélande. Ce livre est également un saga sur 3 générations qui débutent avec 2 femmes qui partent au bout du monde après avoir répondu à des annonces passées par l'Eglise anglicane de Christchurch .
Toujours dans une ambiance de pionnier dans un nouveau monde, les thèmes abordés sont les conflits entre barons de la laine, ruée vers l'or, la domination des femmes par les hommes, les mines de charbon occidentales...
On voyagera également aux quatre coins du monde dans cette trilogie.
Bien que les personnages de cette saga soient intéressants, tous avec un caractère bien trempé, attachantes, j'avoue avoir failli abandonner au second tome. J'y ai entre autres trouver beaucoup de longueurs. Heureusement, l'auteure a réussi au 3ème tiers du livre à capter à nouveau mon attention. J'ai pu ainsi terminer cette trilogie.
Une très bonne saga, même si j'ai de loin préféré l'autre trilogie, qui contient davantage de référence sur la vie des Maories.
J'espère qu'elle se différenciera un peu dans le thème sur ses prochains livres, car la lassitude pourrait guetter.
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